Journal d'un génie
Introduction et notes de Michel Déon
Gallimard
Parution
« Apothéose dalinienne hier soir dans le temple du Savoir devant une foule fascinée. À peine arrivé dans ma Rolls bourrée de choux-fleurs, salué par les milliers de flashes des photographes, j’ai pris la parole dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne. L’assistance frémissante attendait des paroles décisives. Elle les a eues. »
Ce Journal rédigé entre 1952 et 1963 mêle pensées tourmentées, obsessions, saillies philosophiques et épanchements amoureux. S’y dévoile en pleine lumière un Dali extravagant et violemment sincère.
Pour le peintre, son propre génie ne fait pas de doute. Et cet exercice de contemplation est loin d’être vain : par l’écriture Dali dépasse les apparences et renoue avec l’ambition métaphysique de sa peinture.
Au-delà de cette publicité dont il s’inonde, Dali pousse la conscience de son art jusqu’au bord de la folie, dans un éclat de plaisir jubilatoire.
Ce Journal rédigé entre 1952 et 1963 mêle pensées tourmentées, obsessions, saillies philosophiques et épanchements amoureux. S’y dévoile en pleine lumière un Dali extravagant et violemment sincère.
Pour le peintre, son propre génie ne fait pas de doute. Et cet exercice de contemplation est loin d’être vain : par l’écriture Dali dépasse les apparences et renoue avec l’ambition métaphysique de sa peinture.
Au-delà de cette publicité dont il s’inonde, Dali pousse la conscience de son art jusqu’au bord de la folie, dans un éclat de plaisir jubilatoire.