Le «Converti» Paul Claudel
. Étude
Collection Blanche
Gallimard
Parution
N'appartient plus au catalogue de l'éditeur depuis
2003
«"La plus grande charité envers les morts, écrivait Mauriac dans sa "Vie de Jean Racine", est de les rapprocher de nous en leur faisant perdre la pose."
Ils "posent", tous, ces grands hommes, presque involontairemenl, et n'en sont pas moins grands.
J'ai voulu tenter de mettre au clair les circonstances réelles de ce que Claudel tenait à appeler la "conversion" de son adolescence, ainsi que ce qui s'est passé, en fait, autour de cette vocation ecclésiastique à laquelle son confesseur lui répétait qu'il devait absolument répondre.
Essayer de regarder aussi – c'est complexe – ce qu'était au juste le contenu de sa foi, si merveilleusement totale, disait-il, compacte, inébranlable.
Non, pas si simple, notre Claudel.»
Henri Guillemin.
Ils "posent", tous, ces grands hommes, presque involontairemenl, et n'en sont pas moins grands.
J'ai voulu tenter de mettre au clair les circonstances réelles de ce que Claudel tenait à appeler la "conversion" de son adolescence, ainsi que ce qui s'est passé, en fait, autour de cette vocation ecclésiastique à laquelle son confesseur lui répétait qu'il devait absolument répondre.
Essayer de regarder aussi – c'est complexe – ce qu'était au juste le contenu de sa foi, si merveilleusement totale, disait-il, compacte, inébranlable.
Non, pas si simple, notre Claudel.»
Henri Guillemin.