L'Énigme Esterhazy
Collection Blanche
Gallimard
Parution
N'appartient plus au catalogue de l'éditeur depuis
2003
L'innocence de Dreyfus ne fait plus de doute aujourd'hui pour aucun esprit sérieux. Ce qui fait doute encore, c'est l'attitude de l'État-Major.
L'étude, minutieuse, conduite par Henri Guillemin, à l'aide, notamment, des dossiers conservés aux Archives Nationales, lui permet de conclure, sur preuves, que le ministre de la Guerre (Général Mercier), aussi bien que les chef et sous-chef de l'État-Major général de l'armée (Généraux de Boisdeffre et Gonse) savaient l'innoncence de Dreyfus lorsqu'ils l'ont fait, ou laissé, condamner. L'énigme désormais ouverte concerne celui qui livrait à l'Allemagne les documents qu'on accusa faussement Dreyfus d'avoir remis à Schwarzkoppen.
Le traître était Esterhazy. Mais qui était Esterhazy? Et pourquoi l'armée protégea-t-elle cet homme au point où elle le fît? Il y avait quelqu'un derrière lui, quelqu'un qui, à aucun prix, ne devait être mis en cause.
L'étude, minutieuse, conduite par Henri Guillemin, à l'aide, notamment, des dossiers conservés aux Archives Nationales, lui permet de conclure, sur preuves, que le ministre de la Guerre (Général Mercier), aussi bien que les chef et sous-chef de l'État-Major général de l'armée (Généraux de Boisdeffre et Gonse) savaient l'innoncence de Dreyfus lorsqu'ils l'ont fait, ou laissé, condamner. L'énigme désormais ouverte concerne celui qui livrait à l'Allemagne les documents qu'on accusa faussement Dreyfus d'avoir remis à Schwarzkoppen.
Le traître était Esterhazy. Mais qui était Esterhazy? Et pourquoi l'armée protégea-t-elle cet homme au point où elle le fît? Il y avait quelqu'un derrière lui, quelqu'un qui, à aucun prix, ne devait être mis en cause.