Le canard en fer-blanc
Trad. de l'anglais (États-Unis) par France-Marie Watkins
Gallimard
Parution
Dans cet État de l'Amérique centrale, le jeudi, à la prison, c'est le jour de l'amour. Les mères et les femmes, les fiancées et les maîtresses viennent apporter du réconfort aux pauvres détenus. Et, quand on n'a ni mère, ni femme, ni maîtresse, on peut s'arranger avec le gardien qui, moyennant finances, vous procure une consolatrice professionnelle. Mais Jim Bishop n'a pas d'argent pour s'acheter les faveurs éphémères d'une femme. Il est condamné à mort. Demain, à l'aube, il sera exécuté... et aucune femme ne le pleurera.
Soudain, la porte s'ouvre. Introduite par le gardien, une jeune fille, une inconnue, entre dans la cellule. Elle est belle, son petit visage ovale est pâle et ses lèvres barbouillées de rouge. Elle pousse un cri de joie, se précipite vers lui et murmure : «Querido mio!» (Mon amour!).
Soudain, la porte s'ouvre. Introduite par le gardien, une jeune fille, une inconnue, entre dans la cellule. Elle est belle, son petit visage ovale est pâle et ses lèvres barbouillées de rouge. Elle pousse un cri de joie, se précipite vers lui et murmure : «Querido mio!» (Mon amour!).