La Princesse artificielle

suivi de Mon piaffeur noir
Première parution en 1938
Trad. de l'anglais par Édouard Roditi et Maurice Sachs. Postface d'Édouard Roditi
Nouvelle édition en 1987
Collection L'Imaginaire (no189)
Gallimard
Parution
«De tous les romans de Ronald Firbank, La Princesse artificielle est un des plus franchement satiriques, avec ses personnages de petite cour royale d'opérette d'Europe centrale ou balkanique (...). Dans Mon piaffeur noir, Firbank exprime en revanche, quoique toujours sur un ton narquois mais aussi avec une grande tendresse, sa nostalgie de l'innocence d'une sorte de Paradis terrestre antillais.» Édouard Roditi.