Gallimard
Parution
Il y a cent ans, en pleine Asie Centrale, la vie nomade des Kazakhs, dans la société de clans où règne encore la polygamie. Un enfant
qui sera un grand poète, dans le milieu féroce des siens, s'éveille à l'amour, aux sentiments humains...
L'histoire vraie d'Abaï Koubanbaïev, fondateur de la langue écrite de son peuple, le romancier Moukhtar Aouezov, qui naquit dans le clan même de son héros, en a fait à la fois une épopée et un «roman de formation» qui est comme le Wilhelm Meister du Kazakhstan.
L'auteur, membre de l'Académie des Sciences de Tachkent, est professeur à l'Université d'Alma-Ata. Né le 30 septembre 1897, savant, historien, linguiste, romancier, dramaturge, il est l'un des plus grands écrivains soviétiques, et son œuvre s'inscrit au premier plan de la littérature mondiale, parmi les quelques ouvrages du XXᵉ siècle qui ont une audience universelle.
Ce livre, qui est la première partie d'Abaï, est traduit du Kazakh par L. Sobolev et A. Vitez ; il comporte une introduction d'Aragon.
L'histoire vraie d'Abaï Koubanbaïev, fondateur de la langue écrite de son peuple, le romancier Moukhtar Aouezov, qui naquit dans le clan même de son héros, en a fait à la fois une épopée et un «roman de formation» qui est comme le Wilhelm Meister du Kazakhstan.
L'auteur, membre de l'Académie des Sciences de Tachkent, est professeur à l'Université d'Alma-Ata. Né le 30 septembre 1897, savant, historien, linguiste, romancier, dramaturge, il est l'un des plus grands écrivains soviétiques, et son œuvre s'inscrit au premier plan de la littérature mondiale, parmi les quelques ouvrages du XXᵉ siècle qui ont une audience universelle.
Ce livre, qui est la première partie d'Abaï, est traduit du Kazakh par L. Sobolev et A. Vitez ; il comporte une introduction d'Aragon.