La révolution hongroise
Trad. de l'anglais par Gilberte Sollacaro
Collection Hors série Connaissance
Gallimard
Parution
Né en Hongrie, George Mikes fut envoyé à Londres, en 1938, comme correspondant d'un grand quotidien de Budapest. À la déclaration de guerre, il resta en Angleterre et travailla dans la section hongroise. Il est devenu sujet britannique.
Quand la révolution éclata à Budapest, George Mikes partit immédiatement pour son pays d'origine, comme envoyé de la B.B.C. Sa connaissance du pays et de sa langue, les nombreuses amitiés qu'il avait conservées, lui permirent de mener son enquête sur les événements qui venaient de se dérouler. La révolution se poursuivait d'ailleurs et Mikes était mieux placé que quiconque pour en apprécier l'importance et la signification. Le récit qu'il en fait saisit par son authenticité et son intelligence.
Après la deuxième attaque des troupes russes, George Mikes se retira à Vienne, où il passa plusieurs semaines à interroger les réfugiés et à interpréter leurs déclarations.
Le témoignage qu'il a rapporté de cette enquête, aux sources mêmes des événements qui ont bouleversé le monde, est infiniment précieux et il comptera pour l'Histoire.
Quand la révolution éclata à Budapest, George Mikes partit immédiatement pour son pays d'origine, comme envoyé de la B.B.C. Sa connaissance du pays et de sa langue, les nombreuses amitiés qu'il avait conservées, lui permirent de mener son enquête sur les événements qui venaient de se dérouler. La révolution se poursuivait d'ailleurs et Mikes était mieux placé que quiconque pour en apprécier l'importance et la signification. Le récit qu'il en fait saisit par son authenticité et son intelligence.
Après la deuxième attaque des troupes russes, George Mikes se retira à Vienne, où il passa plusieurs semaines à interroger les réfugiés et à interpréter leurs déclarations.
Le témoignage qu'il a rapporté de cette enquête, aux sources mêmes des événements qui ont bouleversé le monde, est infiniment précieux et il comptera pour l'Histoire.