La mort de C.
suivi de Le puritain passionné
Première parution en 2001
Gallimard
Parution
« C. comme “chaos”. Tumultueuse sa vie, tumultueuse sa mort. Mais l’histoire de C. et son caractère n’ont eux-mêmes que peu d’importance, la seule chose qui compte étant seulement C. face à sa mort, impliqué dans sa mort, dans une mort qui par hasard est la sienne, seuil, passage, départ. »
Journaliste exilé à Bombay, la trentaine, C. est poursuivi par le drame, encore et encore. Vivant, C. semble déjà mort. Dans une rue infâme et sordide ou un bar louche au cours d’une rixe, autour de lui rôde l’infinité des possibles d’une seule et même fin pathétique. La mort de C. établit la radiographie d’un meurtre, vu sous tous les angles.
Ce texte est suivi du Puritain passionné, où tigres et souvenirs s’entremêlent. Un texte miroir qui demande : « Qu’est-ce que la vie ? »
Héritière revendiquée de Poe, de Bataille et de Sade, Gabrielle Wittkop (1920-2002) enchante par sa virtuosité baroque, sa liberté et son cynisme.
Journaliste exilé à Bombay, la trentaine, C. est poursuivi par le drame, encore et encore. Vivant, C. semble déjà mort. Dans une rue infâme et sordide ou un bar louche au cours d’une rixe, autour de lui rôde l’infinité des possibles d’une seule et même fin pathétique. La mort de C. établit la radiographie d’un meurtre, vu sous tous les angles.
Ce texte est suivi du Puritain passionné, où tigres et souvenirs s’entremêlent. Un texte miroir qui demande : « Qu’est-ce que la vie ? »
Héritière revendiquée de Poe, de Bataille et de Sade, Gabrielle Wittkop (1920-2002) enchante par sa virtuosité baroque, sa liberté et son cynisme.