Un Nom toujours nouveau
. Poèmes 1957-1958
Collection Blanche
Gallimard
Parution
Qui peut chanter possède l'univers. Il n'est demandé au poète que de se tenir debout, le matin, dans un champ. L'exercice du langage est naturel. Il n'est demandé au poète que de regarder devant soi.
Les cinq poèmes qui composent ce court recueil marquent chez Pierre Oster le début d'un effort qui n'est plus purement intellectuel. Une attention plus grande est accordée aux animaux, aux objets. Des chemins au flanc des collines révèlent la présence des hommes.
Le poète utilise une métrique particulière, peut-être inspirée des Anglais, où chaque vers se décrit comme un système de toniques et d'atones, au nombre indéterminé de syllabes, les mots porteurs de l'idée ayant l'accent. La perception du rythme est donc ici étroitement liée à la compréhension du sens.
Les cinq poèmes qui composent ce court recueil marquent chez Pierre Oster le début d'un effort qui n'est plus purement intellectuel. Une attention plus grande est accordée aux animaux, aux objets. Des chemins au flanc des collines révèlent la présence des hommes.
Le poète utilise une métrique particulière, peut-être inspirée des Anglais, où chaque vers se décrit comme un système de toniques et d'atones, au nombre indéterminé de syllabes, les mots porteurs de l'idée ayant l'accent. La perception du rythme est donc ici étroitement liée à la compréhension du sens.