Réflexion faite
. Notes pour servir à l'histoire de l'art cinématographique de 1920 à 1950
Collection Blanche
Gallimard
Parution
Réflexion faite va plus loin que ne le laisse prévoir un sous-titre modeste. Ces Notes pour servir à l'histoire de l'art cinématographique de 1920 à 1950 contiennent réellement la somme des réflexions faites sur son art par un des plus grands hommes du cinéma contemporain.
Dans Réflexion faite, René Clair commente des textes écrits par lui depuis l'époque du cinéma muet jusqu'à l'âge de la télévision. Entre les textes anciens et les commentaires actuels s'établit un dialogue animé où tour à tour les principaux problèmes du cinéma sont évoqués à travers les souvenirs de l'auteur.
Réflexion faite n'est pas un livre de critique ou de théorie. C'est un témoignage que ne devrait ignorer aucun de ceux que le cinéma intéresse. C'est aussi une sorte de «journal de bord» , la relation d'un voyage autour de trente années d'histoire cinématographique : «Ce qui m'advint, dit l'auteur, ce fut de prendre part à une grande aventure, d'assister à la création d'un langage, d'un art, d'une industrie, de quelque chose qu'aucune de ces appellations ne parvient à définir complètement et dont la nature complexe se prête à l'équivoque.» Et René Clair ajoute ceci, qui définit le sens de son œuvre : «Cette équivoque, j'ai tenté de la dissiper de mon mieux.»
Dans Réflexion faite, René Clair commente des textes écrits par lui depuis l'époque du cinéma muet jusqu'à l'âge de la télévision. Entre les textes anciens et les commentaires actuels s'établit un dialogue animé où tour à tour les principaux problèmes du cinéma sont évoqués à travers les souvenirs de l'auteur.
Réflexion faite n'est pas un livre de critique ou de théorie. C'est un témoignage que ne devrait ignorer aucun de ceux que le cinéma intéresse. C'est aussi une sorte de «journal de bord» , la relation d'un voyage autour de trente années d'histoire cinématographique : «Ce qui m'advint, dit l'auteur, ce fut de prendre part à une grande aventure, d'assister à la création d'un langage, d'un art, d'une industrie, de quelque chose qu'aucune de ces appellations ne parvient à définir complètement et dont la nature complexe se prête à l'équivoque.» Et René Clair ajoute ceci, qui définit le sens de son œuvre : «Cette équivoque, j'ai tenté de la dissiper de mon mieux.»
