Leur domaine - Jo Nesbø
Jo Nesbø
Lire un extraitLire un extrait Télécharger la couverture

Leur domaine

Lillebror
Trad. du norvégien par Céline Romand-Monnier
Collection Série Noire
Gallimard
Parution
Carl et Roy ont seize et dix-sept ans lorsque la voiture de leurs parents tombe au fond d’un ravin. Roy s’installe comme mécanicien dans une station-service du bourg voisin pour subvenir à leurs besoins. Carl, aussitôt sa scolarité finie, file au Canada poursuivre ses études et tenter sa chance.
Des années plus tard, Carl revient au pays avec une trop ravissante épouse, mû par un ambitieux projet pour le modeste domaine familial : construire un hôtel spa de luxe qui fera leur fortune et celle de leur communauté, sur laquelle il compte pour financer les travaux. Mais le retour de l’enfant prodigue réveille de vieilles rancoeurs et les secrets de famille remontent à la surface. Tandis que les murs du palace peinent à s’ériger, les cadavres s’amoncellent.
Leur domaine est un thriller complexe, déroutant, à l’atmosphère irrespirable, dans lequel Jo Nesbø expose avec un réalisme glaçant les rouages des rapports familiaux pervertis. On comprend que Stephen King ait trouvé ce roman « original et spécial » et qu’il « n’ait pas pu le lâcher »…

« Un éclat de noir absolu… »
Isabelle Lesniak, Les Échos Week-end

« Jo Nesbø est un conteur hors pair, maniaque et retors. Il joue sur les temporalités, passe sans cesse du présent au passé, distille les informations par bribes, laissant le lecteur mesurer peu à peu l’ampleur du dérèglement de cette famille hautement toxique. Il l'enferme dans un récit sans échappatoire à l’atmosphère de plus en plus étouffante et glaçante. »
Michel Abescat, France Inter

« Un huis clos familial gorgé de lourds secrets. »
Abel Mestre, Le Monde des Livres

« Leur domaine apparaît comme un concentré de l’art de Nesbø. Éblouissant par sa finesse narrative et parfaitement déstabilisant par le spectacle qu’il donne des ambiguïtés morales de ses personnages.
Une histoire de famille, pleine de bruit et de fureur. »
Michel Abescat, Télérama

Lire un extrait