La peau et les os

Collection Blanche
Gallimard
Parution
Ce recueil de Maxime Alexandre est composé de courtes pièces en vers et en prose. Cette poésie, qui garde des traces – très savoureuses – de la formation surréaliste de son auteur (Paul Valéry ne l'avait-il pas appelé «le Virgile du surréalisme»?), est cependant une poésie très «décantée», très simple et qui, comme toute vraie poésie, suggère bien davantage qu'elle n'exprime. Elle rappelle, par son éclat, sa transparence et ses coloris, les étonnants tableaux de verreries de l'Alsacien Stoskopff, compatriote de Maxime Alexandre. Elle rappelle aussi, au détour d'un vers ou d'un rythme, Paul Éluard. Malgré ces parentés, la poésie de Maxime Alexandre est absolument personnelle et fait entendre un «chant profond» qui n'est qu'à lui.
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