Les histoires blanches, blanches comme les nuits, sont celles que racontent les murs par la bouche des monstres qu’ils enfantent.. Entre deux contes, celui que l’on n’entend pas parce qu’il est resté dans la gorge se devine à des taches, des ombres. Gestes faits et défaits dans l’équivoque de la pierre qui, même très dure aux mains, sous l’œil est caressante.
Dans un tel kaladeïoscope [sic] un simple changement du regard suffit à remplacer les formes par d’autres toutes différentes et que la boite ouverte, quelques méchants cailloux seulement composaient.
Il y a de la fable aussi dans les propos de ces fantômes dont les moralités s’envolent dans des ballons issus des pipes ou des nez, parfois trop lointaines pour être déchiffrées dans Ie ciel à hauteur de terre.