Fortune
. Récit en deux parties
Chance
Première parution en 1933
Trad. de l'anglais par Philippe Neel
Édition reliée d'après la maquette de Paul Bonet
Collection Reliures d'éditeur
Gallimard
Parution
N'appartient plus au catalogue de l'éditeur depuis
1992
Le Ferndale est bien le navire le plus inquiétant qui soit, dans le sens où notre planète est inquiétante, avec son atmosphère trouble de passions, de jalousie, d'amour, de haines, avec la calamité des bonnes volontés transcendantes. Et il a fallu que le hasard choisisse le Ferndale, entre tous les navires alors dans le port de Londres, pour assurer au jeune Powell son premier pas dans la vie. Le voilà désormais sous le coup du funeste enchantement qu'exercent sur lui l'énigmatique capitaine Anthony, Flora De Barral, pâle jeune femme qui semble vouée au malheur, et le père de celle-ci, vieux financier mis en prison pour banqueroute frauduleuse.
Le plus grand, le plus beau des romans de Conrad.
Le plus grand, le plus beau des romans de Conrad.