J'étais une jeune fille laide
Ich war ein hässliches Mädchen
Première parution en 1938
Trad. de l'allemand (Autriche) par Hélène Chaudoir
Nouvelle édition en 1954
Collection La Méridienne
Gallimard
Parution
N'appartient plus au catalogue de l'éditeur depuis
1991
«Annelise, jeune fille viennoise, rencontre un jour un acteur plein de talent, qui joue les pièces dont il est l'auteur, et traîne tous les cœurs après soi. Annelise se croit laide, mais l'homme qu'elle aime et qui l'appelle son "vilain petit canard", lui apprend que n'importe quel laideron peut devenir une jolie femme. Il faut lutter, se priver, combattre avec les armes que la plus démunie a encore à sa disposition, puisqu'elle est femme. La récompense vient toute seule. Celle d'Annelise est la plus belle, la plus inattendue. Le petit canard a su trouver la beauté et l'amour.
L'aventure adorable d'Annelise ressuscite pour nous l'atmosphère unique de la Vienne d'après la première guerre mondiale ; l'émotion nostalgique qui se dégage des circonstances est un élément de plus qui fera aimer ce roman des lecteurs au cœur jeune et sensible.
Le livre d'Anne-Marie Selinko raconte l'aventure de toutes les femmes. Les plus heureuses d'entre elles possèdent le privilège d'avoir toujours été jolies, et de l'avoir su. Mais combien d'infortunées n'ont-elles pas passé à côté du bonheur, faute d'avoir lutté pour conquérir celui qu'elles avaient choisi?
L'auteur a dédié son livre "aux femmes françaises qui, les premières, ont compris combien il était important d'être belle".»
L'aventure adorable d'Annelise ressuscite pour nous l'atmosphère unique de la Vienne d'après la première guerre mondiale ; l'émotion nostalgique qui se dégage des circonstances est un élément de plus qui fera aimer ce roman des lecteurs au cœur jeune et sensible.
Le livre d'Anne-Marie Selinko raconte l'aventure de toutes les femmes. Les plus heureuses d'entre elles possèdent le privilège d'avoir toujours été jolies, et de l'avoir su. Mais combien d'infortunées n'ont-elles pas passé à côté du bonheur, faute d'avoir lutté pour conquérir celui qu'elles avaient choisi?
L'auteur a dédié son livre "aux femmes françaises qui, les premières, ont compris combien il était important d'être belle".»