« Gwenaëlle Aubry ausculte la révélation traumatique qu'a été la pandémie, vécue par une communauté de voisins, séparés sans remède par la force des choses. Un huis clos sans merci, tandis que la vie au-dehors est mise entre parenthèses. » L'Humanité
« Témoignage romanesque d'un temps qu'on aimerait oublier, Zone base vie nous ramène au trouble de cette expérience de la séparation. » Le Monde
« Roman choral ou, plus exactement, « diffracté », l’enjeu de Zone base vie n’est pas tant la sidération du confinement que la nécessité, individuelle et collective, d’en revenir. » AOC
« Un dispositif de saisie [...] qui n'est pas sans rappeler La Vie mode d'emploi de George Perec, une manière pour l'écrivaine, qui est aussi philosophe, de partager la connaissance sensible d'une expérience commune et singulière à la fois : le temps du confinement. » France Culture
« Ingénieux, drôle, émouvant et d'un style exemplaire. » Page des libraires
« Dans Zone base vie, c'est une sacrée leçon de vie que l'on reçoit en pénétrant dans cet immeuble fictif qui concentre la diversité de la société. [...] Gwenaëlle Aubry se met dans la peau de chacun, on les sent, on pourrait presque les toucher. » Libération
« Intelligente, juste, universelle : cette histoire se lit comme le miroir d'une mémoire collective marquée par la pandémie. » Version Femina
« Une plongée au plus près des émotions et des corps. » La Provence
« Frotter les courses avec du vinaigre, remplir l'autorisation de sortie ou pas, pleurer au déconfinement, pleurer encore au reconfinement. Rire à la liberté retrouvée... Dans ce monde d'après qui ressemble quand même furieusement au monde d'avant, magnifique piqûre de rappel sur ce qu'on a tous vécu... et tous oublié. » La Tribune
« Elle a, Gwenaëlle Aubry, cette capacité à devenir personne, à pouvoir explorer des identités très différentes, à devenir chacun de ces corps affectés par le négatif, l'angoisse de l'inconnu, les distances de sécurité à respecter. Elle passe en eux, elle leur impose sa voix et sa pulsation propres pour mieux nous faire sentir la passion qu'ils mettent tous à aller au bout de ce qui les hante. » Le matricule des anges
« Un livre radical qui repense la modalité même du discours littéraire sur l'événement. » En attendant Nadeau
« Convoquant magistralement Perec, Plath et Sebald, Gwenaëlle Aubry défend le vertige de la phrase, qui est survie et qui est salut face au "vide mal suturé" du monde. » Art press