Tir au pigeon
Trad. de l'italien par Elsa Bonan
Collection Du monde entier
Gallimard
Parution
Dans un petit village du sud de l'Italie, Marco, las de sa famille et rêvant d'aventure, ronge son frein. Même l'amour de Giulia n'est pas assez fort pour le retenir. Une nuit, il s'enfuit vers le Nord dans un camion allemand. Les alliés ont pris pied à Naples et commencent leur action pour libérer la péninsule.
Parvenu à Venise, Marco est incorporé de force dans les troupes italiennes levées par la république de Mussolini. Il déserte, parvient jusqu'à Milan où il est arrêté. On lui donne le choix entre le poteau d'exécution et la milice. Il choisit la milice. Commence alors une série d'aventures où Marco se trouve amené à participer à la lutte contre les résistants. Bien malgré lui, il accomplit un acte d'héroïsme. Blessé, il est évacué sur un hôpital et, pendant sa convalescence, noue une intrigue avec son infirmière.
Mais la lutte n'est pas finie. Marco, ayant rejoint son corps, doit fuir à son tour, traqué par les partisans. Il est pris, condamné, mis dans un convoi pour Naples où il doit être embarqué à destination d'un camp de prisonniers africain. Il s'évade du train, revient dans son pays natal. Il y retrouve Giulia mariée à un autre. Ses parents, ses amis lui font fète. Les anciens fascistes le considèrent comme un héros. Au cours de la fête de famille que son père a donnée en son honneur, l'ancien secrétaire du parti lève son verre et prononce un discours. C'en est trop. Marco est incapable de supporter plus longtemps cette dérision. Il se jette sur le fasciste pour l'étrangler.
Mais l'affection des siens, l'amour de sa mère auront raison de sa révolte. Et il retrouve la paix en revêtant le vêtement civil que sa mère avait amoureusement préparé pour lui.
Parvenu à Venise, Marco est incorporé de force dans les troupes italiennes levées par la république de Mussolini. Il déserte, parvient jusqu'à Milan où il est arrêté. On lui donne le choix entre le poteau d'exécution et la milice. Il choisit la milice. Commence alors une série d'aventures où Marco se trouve amené à participer à la lutte contre les résistants. Bien malgré lui, il accomplit un acte d'héroïsme. Blessé, il est évacué sur un hôpital et, pendant sa convalescence, noue une intrigue avec son infirmière.
Mais la lutte n'est pas finie. Marco, ayant rejoint son corps, doit fuir à son tour, traqué par les partisans. Il est pris, condamné, mis dans un convoi pour Naples où il doit être embarqué à destination d'un camp de prisonniers africain. Il s'évade du train, revient dans son pays natal. Il y retrouve Giulia mariée à un autre. Ses parents, ses amis lui font fète. Les anciens fascistes le considèrent comme un héros. Au cours de la fête de famille que son père a donnée en son honneur, l'ancien secrétaire du parti lève son verre et prononce un discours. C'en est trop. Marco est incapable de supporter plus longtemps cette dérision. Il se jette sur le fasciste pour l'étrangler.
Mais l'affection des siens, l'amour de sa mère auront raison de sa révolte. Et il retrouve la paix en revêtant le vêtement civil que sa mère avait amoureusement préparé pour lui.