N'entre pas sans violence dans cette bonne nuit... et autres poèmes
Trad. de l'anglais et préfacé par Alain Suied
Collection Du monde entier
Gallimard
Parution
Plus forte que la ferveur spectaculaire que son personnage de clown ivre et génial inspira outre-Atlantique, c'est l'éloquence du Temps qui a changé Dylan Thomas en ce qu'il est, de toute évidence : la voix la plus subtile, la plus douloureusement humaine de la poésie de langue anglaise du XXᵉ siècle.
Son œuvre poétique – presque tout entière écrite ou ébauchée avant ses vingt ans – scrute avec une rare acuité les mystères et les évidences de la vie. Jamais des thèmes comme la naissance, la mort, le désir, l'écriture n'avaient été plus vertigineusement saisis par un poème...
Et parlant à hauteur des plus grands poètes anglais ou américains (de John Donne à Emily Brontë, de Shakespeare à Hopkins ou Whitman), Dylan Thomas inscrit sa différence à la rude école d'exigence et de travail sur soi des plus hautes destinées poétiques. Poésie de chair, de sang et d'angoisse, la poésie de Dylan Thomas, sous les accents les plus désespérés, n'en est pas moins une recherche éperdue, passionnelle, de la magie élémentaire du verbe comme de la vie.
Son œuvre poétique – presque tout entière écrite ou ébauchée avant ses vingt ans – scrute avec une rare acuité les mystères et les évidences de la vie. Jamais des thèmes comme la naissance, la mort, le désir, l'écriture n'avaient été plus vertigineusement saisis par un poème...
Et parlant à hauteur des plus grands poètes anglais ou américains (de John Donne à Emily Brontë, de Shakespeare à Hopkins ou Whitman), Dylan Thomas inscrit sa différence à la rude école d'exigence et de travail sur soi des plus hautes destinées poétiques. Poésie de chair, de sang et d'angoisse, la poésie de Dylan Thomas, sous les accents les plus désespérés, n'en est pas moins une recherche éperdue, passionnelle, de la magie élémentaire du verbe comme de la vie.