Mémoires à l'encre rouge
Trad. de l'anglais par Georges Alfred Louédec
Gallimard
Parution
«Sam Linehan avait un fiIs qui aimait trop les beaux garçons et une fiIle qui aimait trop la drogue. Pour le fils, je ne pouvais rien, mais pour Joyce, la fille, j'allais tenter l'impossible : lui faire passer le goût de la drogue en huit jours. La fille en valait la peine. La récompense aussi : à la mort de Sam, j'hériterais de ses mémoires. De quoi décapiter tous les gangs d'Amérique.
Seulement je n'étais pas le seul à guigner ces mémoires. Quand je m'en suis rendu compte, il était trop tard.»
Seulement je n'étais pas le seul à guigner ces mémoires. Quand je m'en suis rendu compte, il était trop tard.»