Les Joyeuses Commères de Windsor
Trad. de l'anglais par Jean-Michel Déprats et Jean-Pierre Richard (1949 - ). Préface de Gisèle Venet, introduction de Jean-Michel Déprats et Jean-Pierre Richard (1949 - )
Gallimard
Parution
«Cette farce exauce le vœu d'une reine. Ayant découvert Falstaff dans les deux parties d'Henry IV, avant que Shakespeare le fasse mourir dans Henry V, Élisabeth Iʳᵉ voulait revoir sur scène le plantureux chevalier, amoureux cette fois.
Et à Windsor, ce n'est pas la Cour que fréquente l'ancien compagnon de débauche du prince héritier, mais la petite société comique d'une ville de province, avec des étrangers – un pasteur gallois, un médecin français – qui massacrent l'anglais, et des bourgeois locaux, tels ces Lepage et Duflot dont Falstaff, nobliau sans le sou, guigne les femmes et la fortune.
Courtisées en même temps, les deux joyeuses épouses mènent ensemble l'intrigue, de piège en piège, jusqu'à confondre, par une nuit de sabbat, au fond du parc royal, le vieux "cerf" en rut qui les poursuit, alors qu'une jeune "biche", la fille des Lepage, en profite pour s'enfuir avec son amoureux...»
Jean-Michel Déprats, Jean-Pierre Richard.
Et à Windsor, ce n'est pas la Cour que fréquente l'ancien compagnon de débauche du prince héritier, mais la petite société comique d'une ville de province, avec des étrangers – un pasteur gallois, un médecin français – qui massacrent l'anglais, et des bourgeois locaux, tels ces Lepage et Duflot dont Falstaff, nobliau sans le sou, guigne les femmes et la fortune.
Courtisées en même temps, les deux joyeuses épouses mènent ensemble l'intrigue, de piège en piège, jusqu'à confondre, par une nuit de sabbat, au fond du parc royal, le vieux "cerf" en rut qui les poursuit, alors qu'une jeune "biche", la fille des Lepage, en profite pour s'enfuir avec son amoureux...»
Jean-Michel Déprats, Jean-Pierre Richard.