Souvenirs
III
Le Jardin des Trinitaires
Collection Éditions originales
Gallimard
Parution
Après Un oubli moins profond et Le Chemin de Monclar, Le Jardin des Trinitaires clôt la trilogie
des «enfances Bosco», car l'auteur au fil de ses souvenirs a voulu s'arrêter aux portes de l'adolescence.
On y fera cependant connaissance avec de nouveaux personnages. Savoureux, pittoresques, ils viennent se mêler à ceux qui déjà nous avaient émus et divertis, depuis Grand-Mère Louise, Tante Martine et Barboche le chien, jusqu'aux dames Mathilde et aux époux Maillet. On pourra donc éprouver les mêmes émotions que l'on a eues, celles d'ailleurs qui agitaient Henri Bosco alors qu'il retrouvait l'enfant qu'il a été, cet enfant qui s'émerveillait de la vie et des êtres, même singuliers, effrayants, même, ici, un peu louches.
Et on voit vivre surtout cet enfant qui sera un jour le conteur de sa propre enfance secrètement enfermée dans les songes. Créature curieuse, curieuse du monde inconnu, des maisons, des jardins clos, des chemins où ne va personne... Un enfant qui cherche et se cherche, et parfois se découvre.
Et de cette enfance grave, ardente, secrète, Bosco peut dire aujourd'hui quand il l'évoque : «J'en ai bien gardé quelque chose, il me semble... Ce cœur, un cœur qui battait bien...»
On y fera cependant connaissance avec de nouveaux personnages. Savoureux, pittoresques, ils viennent se mêler à ceux qui déjà nous avaient émus et divertis, depuis Grand-Mère Louise, Tante Martine et Barboche le chien, jusqu'aux dames Mathilde et aux époux Maillet. On pourra donc éprouver les mêmes émotions que l'on a eues, celles d'ailleurs qui agitaient Henri Bosco alors qu'il retrouvait l'enfant qu'il a été, cet enfant qui s'émerveillait de la vie et des êtres, même singuliers, effrayants, même, ici, un peu louches.
Et on voit vivre surtout cet enfant qui sera un jour le conteur de sa propre enfance secrètement enfermée dans les songes. Créature curieuse, curieuse du monde inconnu, des maisons, des jardins clos, des chemins où ne va personne... Un enfant qui cherche et se cherche, et parfois se découvre.
Et de cette enfance grave, ardente, secrète, Bosco peut dire aujourd'hui quand il l'évoque : «J'en ai bien gardé quelque chose, il me semble... Ce cœur, un cœur qui battait bien...»