Le doute de Cézanne et autres textes
Extrait de Sens et non-sens (Bibliothèque de philosophie)
Parution
« Cézanne n’a pas cru devoir choisir entre la sensation et la pensée, comme entre le chaos et l’ordre. Il ne veut pas séparer les choses fixes qui apparaissent sous notre regard et leur manière fuyante d’apparaître, il veut peindre la matière en train de se donner forme, l’ordre naissant par une organisation spontanée. »
Dans ces trois textes, Merleau-Ponty nous initie, d’une plume incarnée, à sa philosophie du sensible. Inachèvement, jaillissement de sens, « métaphysique du concret » : c’est au surplomb de la philosophie classique qu’il s’agit de renoncer. Et c’est depuis le monde, pris et engagé en son sein, qu’il convient désormais de penser.
Une entrée en phénoménologie avec « Le doute de Cézanne », « Le cinéma et la nouvelle psychologie » et « La métaphysique dans l’homme ».
Dans ces trois textes, Merleau-Ponty nous initie, d’une plume incarnée, à sa philosophie du sensible. Inachèvement, jaillissement de sens, « métaphysique du concret » : c’est au surplomb de la philosophie classique qu’il s’agit de renoncer. Et c’est depuis le monde, pris et engagé en son sein, qu’il convient désormais de penser.
Une entrée en phénoménologie avec « Le doute de Cézanne », « Le cinéma et la nouvelle psychologie » et « La métaphysique dans l’homme ».