« Racontant une idylle qui a la teinte de sa génération, Philippe Labro ne se contente pas d'une promenade dans Paris ou New York, ni de se souvenir d'un temps avec ses références. Il livre un roman serré, intime. On devine entre les mots que ces retrouvailles sont importantes pour lui aussi. Avec ces gimlets sur la Ve Avenue, il nous livre une grande rétrospective, autant que le souvenir d'une longue histoire d'amour. » Le Figaro Littéraire
« Labro sait raconter des histoires en y distillant des éléments de sa vie. On s'attache à Lucas, fougueux mais maladroit, trop jeune pour savoir aimer une Élisabeth frondeuse et libre. » Paris Match
« Sur la 5e Avenue, au bar du Sherry Netherland, où ils commandent des gimlets, le cocktail de gin et citron vert que Raymond Chandler fait boire à Philip Marlowe et ses clients, les deux Frenchies se promettent d'être heureux ensemble dans ce pays qui les a adoptés. Et auquel, une dernière fois, l'auteur d'« Un Américain peu tranquille » remet, en guise de lettres de créance, cette émouvante novella. » L'Obs
« Le meilleur du livre : la tendresse de l'auteur pour ses personnages et ces descriptions de l'innommable - présent et à venir-, tel que le 11 septembre l'annonce à l'Occident. Le roman n'est donc jamais sentimental ni extatique, au contraire. Il semble parfois bien cruel. La lucidité de l'auteur - parfaitement journaliste en sa fiction - renforce le récit et sa construction. » Atlantico