Carnets
Première parution en 1942
Trad. de l'anglais et de l'italien par Louise Servicen. Préface de Paul Valéry, introduction et notes d'Edward MacCurdy
Nouvelle édition en deux volumes en 1951
Collection Blanche
Gallimard
Parution
«II y eut une fois Quelqu'un qui pouvait regarder le même spectacle ou le même objet, tantôt comme l'eût regardé un peintre, et tantôt en naturaliste ; tantôt comme un physicien, et d'autres fois comme un poète ; et aucun de ces regards n'était superficiel.»
C'est en ces termes que Paul Valéry présente Léonard de Vinci dans la préface qu'il a écrite pour l'édition complète de ses Carnets, que la N.R.F. réédite – pour la première fois en édition courante – dans la belle traduction de Louise Servicen.
Ces carnets que le grand peintre florentin couvrait de notes et de croquis étaient dispersés aux quatre coins du monde. On trouvera là tout ce qui en est actuellement connu ou identifié. C'est la somme complète de la Renaissance, le témoignage sur la nature, l'art, la science, d'un des génies les plus puissants et les plus universels que l'humanité ait comptés.
C'est en ces termes que Paul Valéry présente Léonard de Vinci dans la préface qu'il a écrite pour l'édition complète de ses Carnets, que la N.R.F. réédite – pour la première fois en édition courante – dans la belle traduction de Louise Servicen.
Ces carnets que le grand peintre florentin couvrait de notes et de croquis étaient dispersés aux quatre coins du monde. On trouvera là tout ce qui en est actuellement connu ou identifié. C'est la somme complète de la Renaissance, le témoignage sur la nature, l'art, la science, d'un des génies les plus puissants et les plus universels que l'humanité ait comptés.