Adieu à la rose
Collection Blanche
Gallimard
Parution
Pierre Lassalle a trente-deux ans. Il est à la fois historien et joli garçon. Adieu à la rose est la chronique de ses amours. C'est qu'en effet il arrive à Pierre Lassalle une aventure bien étrange : il tombe amoureux, mais amoureux fou, au point de vouloir l'épouser, d'une jeune fille rencontrée sur une plage.
Cette personne est très charmante – dans le genre jeune fille bourgeoise. C'est-à-dire qu'elle est jeune, et fraîche, et jolie. Mais elle est pleine de préjugés terribles et d'idées baroques. Dans la cour (très brûlante) qu'il lui fait, Pierre se heurte à toutes sortes d'obstacles, dont, en particulier, la mère, qui a eu deux cent sept amants, et qui est aussi malfaisante qu'on peut le souhaiter.
Avec une réjouissante cruauté, Kléber Haedens nous raconte cette passion, à la fois heureuse, puisque Pierre est aimé, et malheureuse, puisqu'on ne l'aime pas comme il voudrait.
Pour que l'aventure de Pierre Lassalle fût complète et exemplaire, il fallait que son amour cessât. Et Pierre, en effet, un beau jour, se déprend de sa petite bourgeoise. Ce n'est pas le passage le moins profond du roman.
Cette personne est très charmante – dans le genre jeune fille bourgeoise. C'est-à-dire qu'elle est jeune, et fraîche, et jolie. Mais elle est pleine de préjugés terribles et d'idées baroques. Dans la cour (très brûlante) qu'il lui fait, Pierre se heurte à toutes sortes d'obstacles, dont, en particulier, la mère, qui a eu deux cent sept amants, et qui est aussi malfaisante qu'on peut le souhaiter.
Avec une réjouissante cruauté, Kléber Haedens nous raconte cette passion, à la fois heureuse, puisque Pierre est aimé, et malheureuse, puisqu'on ne l'aime pas comme il voudrait.
Pour que l'aventure de Pierre Lassalle fût complète et exemplaire, il fallait que son amour cessât. Et Pierre, en effet, un beau jour, se déprend de sa petite bourgeoise. Ce n'est pas le passage le moins profond du roman.