Seurat
. Le rêve de l'art-science
Parution
«Je ne parle pourtant pas beaucoup», disait Georges Seurat, soucieux de préserver les secrets de sa «méthode». Et lorsqu’il meurt en 1891, à trente et un ans, ses intimes avouent déjà que «sa biographie est plane et dépourvue de faits pittoresques».
Ce n’est donc pas aux secrets de sa vie que Françoise Cachin consacre ce livre, mais à ce qu’a de singulier sa peinture comme ses dessins. Son œuvre est à la croisée de la grande tradition et du scientisme, du naturalisme et du symbolisme. «Il y a du «secret» dans le «système» de Seurat - suggérait André Chastel - mais un aspect peut en être explicité, c’est le rêve de l’art-science.»
Ce n’est donc pas aux secrets de sa vie que Françoise Cachin consacre ce livre, mais à ce qu’a de singulier sa peinture comme ses dessins. Son œuvre est à la croisée de la grande tradition et du scientisme, du naturalisme et du symbolisme. «Il y a du «secret» dans le «système» de Seurat - suggérait André Chastel - mais un aspect peut en être explicité, c’est le rêve de l’art-science.»