Quarantième étage

. «Conquêtes du Monde» - Amérique
Collection Blanche
Gallimard
Parution
«Nul Américain, sans doute, ne pourrait nous donner un livre tel que celui de Luc Durtain, Quarantième étage... Une sorte de simplicité voulue, austère qui a la beauté d'un télégramme.» Raymond Cogniat, Chantecler, 25-6-27.

«Étude des mœurs américaines, de la psychologie masculine et féminine, très fine et très précise. Récit fort bien mené et tres substantiel.» Les Treize, L'Intransigeant, 15-7-27.

«Les admirables dons picturaux de M. Durtain, l'éloquence massive de son style et mille détails précieux font de Quarantième étage un ouvrage de la même classe que La Source rouge ou Ma Kimbell. Mais ici le cadre s'est élargi, le sujet est plus vaste et d'un intérêt plus urgent. Remercions Luc Durtain de nous avoir donné un livre de si riche substance, un livre âpre et qui fait réfléchir.» Emmanuel Buenzod, La Gazette de Lausanne, 18-7-27.

«Les traits primordiaux d'une race se détachent avec une netteté excellente... Un style à arêtes vives, immanquablement coupantes qui donnent bien l'impression d'une vie sèche, précise et terriblement, si candidement, si purement américaine! C'est un livre fort amusant et très significatif.» Pierre Loewel, L'Avenir, 27-7-27.

«Des sources nouvelles d'inspiration, un regard brutal, énergique et lucide, une langue virile, une langue étrange : à la fois trépidante et serrée... Tout au long de ce volume quelle merveille de traits étincelants, de notations profondes, d'observations qui rapidement transpercent.» Henriette Charasson, La Femme de France, 31-7-17.

«Trois histoires rapportées d'Amérique par un Français que les "merveilles de la technique" n'ont pas ébloui. Il pénètre la pauvreté spirituelle de cette humanité standardisée ; mais il voit aussi la grandeur des rapports qui ouvre toutes les possibilités de l'avenir.» Frankfurter Zeitung, 15-8-27.

«Un des plus remarquables ouvrages qu'ait donné la génération qui suit la mienne. Cet "Essai d'une syntaxe des mœurs puritaines" ne sera pas emporté par le reflux qui, après chaque saison, laisse sur le sable bien peu d'ouvrages nouveaux.» La Semaine à Paris, 19-8-27.
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