Collection Du monde entier
Gallimard
Parution
Les lettres de T. E. Lawrence forment un tableau complet de la vie intérieure , intellectuelle et professionnelle de l'auteur des Sept Piliers de la Sagesse ; en même temps, elles donnent l'explication du fameux mystère Lawrence qui, à la vérité, n'en était pas un.
La 1ᵉ partie (août 1906 à juin 1914) a l'archéologie pour thème principal (on sait que, tout jeune, Lawrence s'était plongé avec passion dans l'étude du passé).
La 2ᵉ partie (septembre 1914 à octobre 1918) permet de le suivre dans son action au Proche-Orient. C'est l' époque où, dans ses guérillas en Arabie, Lawrence s'élève jusqu'à un état d 'exaltation chauffé à blanc, qui seul le rend capable d'aller de l'avant, sans souci des blessures et des tortures : «Cela sentait le matin, et la fraîcheur du monde à venir nous grisait.»
La 3ᵉ partie (novembre 1918 à juillet 1922) traduit l'amertume de Lawrence devant l'échec de son idéal arabe. Son caractère change. On le juge excentrique, parce que, tout simplement , sa conscience lui interdisait de tirer profit du rôle qu'il avait joué pendant la guerre.
La 4ᵉ partie (août 1922 à décembre 1928) nous le montre après son engagement comme simple soldat dans la R.A.F.
La 5ᵉ partie enfin (janvier 1929 à mai 1935) est centrée sur ses travaux et ses expériences sur les hydravions, ses missions dans l'Inde, le vacarme déclenché par la presse autour de sa personnalité.
Cette correspondance, dont la traduction d'Étiemble et de Yassu Gauclère a su, malgré les difficultés, rendre le ton si vivant, si juste, si personnel, est à la fois un document humain d'une inappréciable valeur et un passionnant chapitre de l'histoire contemporaine de la Grande-Bretagne.
La 1ᵉ partie (août 1906 à juin 1914) a l'archéologie pour thème principal (on sait que, tout jeune, Lawrence s'était plongé avec passion dans l'étude du passé).
La 2ᵉ partie (septembre 1914 à octobre 1918) permet de le suivre dans son action au Proche-Orient. C'est l' époque où, dans ses guérillas en Arabie, Lawrence s'élève jusqu'à un état d 'exaltation chauffé à blanc, qui seul le rend capable d'aller de l'avant, sans souci des blessures et des tortures : «Cela sentait le matin, et la fraîcheur du monde à venir nous grisait.»
La 3ᵉ partie (novembre 1918 à juillet 1922) traduit l'amertume de Lawrence devant l'échec de son idéal arabe. Son caractère change. On le juge excentrique, parce que, tout simplement , sa conscience lui interdisait de tirer profit du rôle qu'il avait joué pendant la guerre.
La 4ᵉ partie (août 1922 à décembre 1928) nous le montre après son engagement comme simple soldat dans la R.A.F.
La 5ᵉ partie enfin (janvier 1929 à mai 1935) est centrée sur ses travaux et ses expériences sur les hydravions, ses missions dans l'Inde, le vacarme déclenché par la presse autour de sa personnalité.
Cette correspondance, dont la traduction d'Étiemble et de Yassu Gauclère a su, malgré les difficultés, rendre le ton si vivant, si juste, si personnel, est à la fois un document humain d'une inappréciable valeur et un passionnant chapitre de l'histoire contemporaine de la Grande-Bretagne.