Le Pont du Nord
Collection Blanche
Gallimard
Parution
Hélène, étudiante de vingt ans, regagne La Bérangère pour les vacances, la grande maison heureuse où l'attendent Jeanne sa mère, Tita sa tante, Marthe et Armand les serviteurs, et où Philippe enfin, le mari de Tita, vient rejoindre les siens chaque semaine.
Des lézardes, souterraines, s'insinuent dans ce monde qui semblait ne devoir jamais changer. Jeanne est malade, et son mal s'aggrave chaque jour, tandis que la tendresse autrefois lumineuse d'Hélène pour Philippe se précise en un sens érotique. Jeanne mourra, Hélène et Philippe s'aimeront.
À partir d'un récit, dont la trame est en elle-même banale, se développe, éclate une charge de sensibilité, de nostalgie, de violence, de désir qui font de la petite Hélène le plus étrange instrument musical qu'on puisse rêver : accordée au monde ou non, effrayée par la découverte de la mort et du plaisir, Hélène traverse le temps en souffrant, en cédant au bonheur, et communique au lecteur une émotion qui ne cesse pas de croître jusqu'à la dernière page.
Des lézardes, souterraines, s'insinuent dans ce monde qui semblait ne devoir jamais changer. Jeanne est malade, et son mal s'aggrave chaque jour, tandis que la tendresse autrefois lumineuse d'Hélène pour Philippe se précise en un sens érotique. Jeanne mourra, Hélène et Philippe s'aimeront.
À partir d'un récit, dont la trame est en elle-même banale, se développe, éclate une charge de sensibilité, de nostalgie, de violence, de désir qui font de la petite Hélène le plus étrange instrument musical qu'on puisse rêver : accordée au monde ou non, effrayée par la découverte de la mort et du plaisir, Hélène traverse le temps en souffrant, en cédant au bonheur, et communique au lecteur une émotion qui ne cesse pas de croître jusqu'à la dernière page.
