Le faste des morts
Shisha no ogori, Hato, Seventeen
Première parution en 2005
Gallimard
Parution
« Au fond de ma poitrine, pour la première fois de ma vie, une masse brûlante semblait s’être définitivement ancrée, probablement la conscience du “crime” que j’avais traquée en vain. »
Les trois nouvelles rassemblées dans ce recueil appartiennent à la première période littéraire de Kenzaburô Ôé. Situées dans une morgue, une maison de redressement, une famille en décomposition, un lycée et un groupuscule d’extrême droite, elles ont pour protagonistes de jeunes anti-héros confrontés à des situations extrêmes, tantôt métaphoriques, tantôt réalistes, sexuelles, psychologiques ou politiques. Dans ces pages rôde une violence qui prend des formes diverses et brouille les repères mentaux.
Publié en 1957, « Le faste des morts » a fait connaître Kenzaburô Ôé, qui n’avait alors que vingt-deux ans et faisait déjà preuve d’une maîtrise surprenante. À ce titre ce texte est resté comme un jalon essentiel de la carrière de l’auteur. « Le Ramier » et surtout « Seventeen » s’inscrivent dans ce même mouvement de fondement de l’œuvre du futur Prix Nobel.
Les trois nouvelles rassemblées dans ce recueil appartiennent à la première période littéraire de Kenzaburô Ôé. Situées dans une morgue, une maison de redressement, une famille en décomposition, un lycée et un groupuscule d’extrême droite, elles ont pour protagonistes de jeunes anti-héros confrontés à des situations extrêmes, tantôt métaphoriques, tantôt réalistes, sexuelles, psychologiques ou politiques. Dans ces pages rôde une violence qui prend des formes diverses et brouille les repères mentaux.
Publié en 1957, « Le faste des morts » a fait connaître Kenzaburô Ôé, qui n’avait alors que vingt-deux ans et faisait déjà preuve d’une maîtrise surprenante. À ce titre ce texte est resté comme un jalon essentiel de la carrière de l’auteur. « Le Ramier » et surtout « Seventeen » s’inscrivent dans ce même mouvement de fondement de l’œuvre du futur Prix Nobel.