La République - Le Destin
Trad. du latin par Esther Bréguet et Albert Yon. Préface de Bernard Besnier
Nouvelle édition
Gallimard
Parution
Orateur, avocat, consul, homme public et homme d’action engagé dans les luttes politiques, Cicéron est mort avec la république romaine en 43 avant J.-C.
Nourri aux sources grecques de la philosophie, il défend, au contraire des épicuriens, le devoir d’engagement politique, et cherche à établir une loi d’équilibre des cités qui intègre et combine les aspects positifs de la monarchie, de l’oligarchie et de la démocratie. L’aristotélisme de cette intention va de pair avec l’intention poursuivie : moraliser l’exercice du pouvoir incarné dans la personne du princeps considéré comme le « procurateur » de l’État.
Le traité sur le destin traite du problème du déterminisme et de la causalité, et il offre une réflexion sur la contingence qui complète l’exposé de l’action politique et historique.
Nourri aux sources grecques de la philosophie, il défend, au contraire des épicuriens, le devoir d’engagement politique, et cherche à établir une loi d’équilibre des cités qui intègre et combine les aspects positifs de la monarchie, de l’oligarchie et de la démocratie. L’aristotélisme de cette intention va de pair avec l’intention poursuivie : moraliser l’exercice du pouvoir incarné dans la personne du princeps considéré comme le « procurateur » de l’État.
Le traité sur le destin traite du problème du déterminisme et de la causalité, et il offre une réflexion sur la contingence qui complète l’exposé de l’action politique et historique.