La Poupée-massacre
Collection Blanche
Gallimard
Parution
La narratrice, une petite fille de treize ans, se tient pour prisonnière dans une pension religieuse dont elle refuse la discipline. Deux ans
plus tôt, Kid, son père, est mort. L'enfant, qui ne s'est jamais guérie de l'événement, s'est inventé un nom : Esme (l'anagramme, dit-elle, de «to seem») ; ce masque lui permet de mieux se déchaîner contre la sordide réalité : le couvent, les nonnes, les compagnes.
Elle parvient à tomber malade. Petit à petit, sur un rythme de cauchemar et de fièvre, Esme livre le secret de son amour pour son père dans la grande maison parmi les pins, dIe la trahison dont il s'est rendu coupable et du terrible «accident» qui l'a privée de Kid.
L'auteur conduit son «roman extraordinaire» comme un long poème hallucinatoire et déchirant fait de passion et de haine, d'amitiés équivoques, d'injures et de vengeances. Ainsi se construit un palais noir où le «massacre», incessamment, s'exaspère.
Elle parvient à tomber malade. Petit à petit, sur un rythme de cauchemar et de fièvre, Esme livre le secret de son amour pour son père dans la grande maison parmi les pins, dIe la trahison dont il s'est rendu coupable et du terrible «accident» qui l'a privée de Kid.
L'auteur conduit son «roman extraordinaire» comme un long poème hallucinatoire et déchirant fait de passion et de haine, d'amitiés équivoques, d'injures et de vengeances. Ainsi se construit un palais noir où le «massacre», incessamment, s'exaspère.