La Biologie de l'esprit
Trad. de l'anglais (États-Unis) par Renée Villoteau
Collection Aux Frontières de la Science
Gallimard
Parution
La biologie doit-elle se limiter à des observations et à des expériences sur la structure et les fonctions des animaux et des plantes et sur l'histoire de leur évolution? Ne doit-elle pas nourrir des ambitions plus vastes? Ne peut-on dire qu'en définitive tous les problèmes de la vie sont des problèmes biologiques? C'est ce que pense hardiment Edmund W. Sinnott, qui ne craint pas de rattacher les divers aspects de la vie psychique de l'homme au fait biologique.
Cet ouvrage non-conformiste risque-t-il de choquer à la fois les biologistes et les psychologues?... Il prétend résoudre le problème des rapports entre l'esprit et le corps, en attribuant pour origine à ces deux faces de l'homme le même processus organique.
La thèse exposée considère l'esprit comme la masse des impulsions naturelles, des désirs et des émotions qui émanent de l'activité de but protoplasmique. C'est donc un système philosophique basé sur une notion de finalité organique que l'auteur propose. Système dans lequel trouvent également place les valeurs spirituelles, l'âme et Dieu.
On lira avec passion les suggestions présentées ici. Qu'on les accepte ou qu'on les refuse, elles enrichissent nos idées sur l'homme et indiquent de nouveaux rapports entre la science et la religion.
Cet ouvrage non-conformiste risque-t-il de choquer à la fois les biologistes et les psychologues?... Il prétend résoudre le problème des rapports entre l'esprit et le corps, en attribuant pour origine à ces deux faces de l'homme le même processus organique.
La thèse exposée considère l'esprit comme la masse des impulsions naturelles, des désirs et des émotions qui émanent de l'activité de but protoplasmique. C'est donc un système philosophique basé sur une notion de finalité organique que l'auteur propose. Système dans lequel trouvent également place les valeurs spirituelles, l'âme et Dieu.
On lira avec passion les suggestions présentées ici. Qu'on les accepte ou qu'on les refuse, elles enrichissent nos idées sur l'homme et indiquent de nouveaux rapports entre la science et la religion.