L'indifférence perdue

Collection Blanche
Gallimard
Parution
L'on pourrait dire de ce roman :
La vie sans l'homme ; avec l'infini qui sort de partout.
Ou bien :
Les idées de l'homme : baroques, mais réelles, secrètes, individuelles, privées, formant océan. Un océan de la pensée et du sentiment qui se donnerait peut-être le luxe de vivre sans l'homme, mais sans lequel l'homme ne peut vivre.
Ou encore :
Un déluge qui monte.
Un style nouveau, qui est exactement l'ombre de ce déluge.
Un jeu de cache-cache avec la folie.
Deux ou trois personnages y remplacent la population du globe, la plante de leurs pieds remplacent la terre.
Tout ce que cache l'homme pour pouvoir vivre avec l'homme.
Oui, mais c'est aussi entre ces trois personnages et de Paris en Palestine, le plus émouvant des drames.
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