« Ce nouveau livre est marqué par une tonalité particulière. La mort est ici une thématique travaillée à plusieurs niveaux, car le narrateur doit aller vider la maison de sa mère décédée, et ne s'y résout pas. Une situation déstabilisante dont il ne peut parler à ses proches, et qui donne à ce roman très drôle une couleur infiniment mélancolique. » Les Inrockuptibles
« Fabrice Caro raconte, avec son ton et son style mélancoliques, imagés et désopilants, un enchaînement de situations qui sont autant de symptômes de notre époque. » Marie France
« Evidemment, il y a un zeste de mélancolie dans ce Fort Alamo , mais ce qui prime avant tout, ce sont les sourires qui émaillent la lecture de ses merveilleuses scènes (vie des enseignants au lycée, repas de famille à haut risque, achats de Noël dans les magasins surpeuplés...). On savoure, et on referme ce sixième roman en attendant impatiemment le prochain. » L'Express
« Alliant humour et mélancolie, acidité et tendresse, Fabrice Caro maîtrise le gag métaphysique avec brio. » Biblioteca Magazine
« Avec, désormais, une régularité digne d'une Amélie Nothomb, le romancier (par ailleurs auteur de bandes dessinées) Fabrice Caro nous livre un cru 2024 de bonne facture. [...] Si la surprise s'émousse au fil des livres, le charme, lui, persiste. » Le Parisien
« [...] Ce nouveau livre est marqué par une tonalité particulière. La mort est ici une thématique travaillée à plusieurs niveaux, car le narrateur doit aller vider la maison de sa mère décédée, et ne s'y résout pas. Une situation déstabilisante dont il ne peut parler à ses proches, et qui donne à ce roman très drôle une couleur infiniment mélancolique. » Les Inrockuptibles