Entretiens avec Robert Mallet
Première parution en 1951
Édition reliée d'après la maquette de Mario Prassinos
Collection Reliures d'éditeur
Gallimard
Parution
«La révélation de Paul Léautaud au grand public constitue certainement l'un des événements littéraires de l'année. Ses Entretiens radiophoniques avec Robert Mallet lui ont fait acquérir une audience qui s'est étendue à tous les pays de langue française. Sa franchise
absolue, son mépris de tout ce qui est admis, la virulence de ses critiques, ses boutades parfois féroces, son cynisme auquel succède son émotion, son rire extraordinaire, en un mot sa sincérité que rien ne peut contenir, expliquent l'étonnant succès remporté par des émissions qui, pour la première fois, ont donné à l'auditeur l'impression du naturel parfait tout en conservant leur classe littéraire.
Robert Mallet, partenaire offensif, a dirigé ces conversations sans craindre les empoignades. Il les a ordonnées de façon à passer en revue non seulement la vie et l'œuvre de Paul Léautaud, mais aussi les cinquante premières années de ce siècle.
Pour répondre au désir manifesté par d'innombrables auditeurs nous publions les quarante Entretiens. Nous les publions intégralement, c'est-à-dire tels qu'ils ont été enregistrés et sans les coupures que la Radio, organisme d'État, se vit obligée de faire lors de leur diffusion, pour des raisons faciles à comprendre.
Ainsi, la pensée la plus spontanée, la moins académique de Paul Léautaud, prend-elle corps dans un livre qui respecte scrupuleusement la forme jaillissante d'un échange de propos dont certains critiques ont dit qu'ils valaient la meilleure des comédies.»
Bulletin de la NRF n° 51, oct. 1951.
Robert Mallet, partenaire offensif, a dirigé ces conversations sans craindre les empoignades. Il les a ordonnées de façon à passer en revue non seulement la vie et l'œuvre de Paul Léautaud, mais aussi les cinquante premières années de ce siècle.
Pour répondre au désir manifesté par d'innombrables auditeurs nous publions les quarante Entretiens. Nous les publions intégralement, c'est-à-dire tels qu'ils ont été enregistrés et sans les coupures que la Radio, organisme d'État, se vit obligée de faire lors de leur diffusion, pour des raisons faciles à comprendre.
Ainsi, la pensée la plus spontanée, la moins académique de Paul Léautaud, prend-elle corps dans un livre qui respecte scrupuleusement la forme jaillissante d'un échange de propos dont certains critiques ont dit qu'ils valaient la meilleure des comédies.»
Bulletin de la NRF n° 51, oct. 1951.