Visa pour Moscou
Collection L'Air du Temps
Gallimard
Parution
N'appartient plus au catalogue de l'éditeur depuis
1991
On n'a pas oublié le grand reportage que Michel Gordey fit sur L'U.R.S.S. au jour le jour. C'était la première fois depuis longtemps qu'un «esprit non prévenu» observait ce pays d'un œil impartial et faisait part, objectivement, de ses observations.
Revenu en France, Michel Gordey a repris ses notes et, sans y rien changer quant au fond, les a mises en forme et les a complétées largement par tout ce que la hâte forcée du «jour le jour» ne lui avait pas permis de développer dans son reportage. C'est ce qui fait de Visa pour Moscou une œuvre nouvelle ; il ne s'agit plus du simple carnet de route d'un reporter, mais du livre mûri d'un essayiste et d'un écrivain : un récit complet et continu, un document d'une honnêteté totale, un témoignage, à peu près unique par son ampleur, son objectivité et sa précision, sur l'un des sujets les plus importants de notre époque.
Michel Gordey, un des rares journalistes occidentaux qui aient obtenu un visa pour Moscou, a passé plusieurs mois en Russie. Il s'est non seulement documenté sur tous les aspects de la vie soviétique qu'il a pu aperçevoir, mais encore il a vérifié minutieusement les renseignements qui lui étaient fournis. Sa connaissance parfaite de la langue russe lui a permis d'écouter, de surprendre, et même parfois d'interroger.
On trouvera dans Visa pour Moscou un tableau détaillé et à jour de la vie en U.R.S.S. La culture, l'administration, l'industrie, l'art, etc., y sont décrits par un témoin oculaire qui s'est efforcé, dans les innombrables reconnaissances qu'il a faites, de toujours comprendre les êtres et les choses qui s'offraient à son observation.
Visa pour Moscou nous révèle un esprit critique perspicace et un homme sensible qui saisit avant tout le côté humain des problèmes et des faits.
Revenu en France, Michel Gordey a repris ses notes et, sans y rien changer quant au fond, les a mises en forme et les a complétées largement par tout ce que la hâte forcée du «jour le jour» ne lui avait pas permis de développer dans son reportage. C'est ce qui fait de Visa pour Moscou une œuvre nouvelle ; il ne s'agit plus du simple carnet de route d'un reporter, mais du livre mûri d'un essayiste et d'un écrivain : un récit complet et continu, un document d'une honnêteté totale, un témoignage, à peu près unique par son ampleur, son objectivité et sa précision, sur l'un des sujets les plus importants de notre époque.
Michel Gordey, un des rares journalistes occidentaux qui aient obtenu un visa pour Moscou, a passé plusieurs mois en Russie. Il s'est non seulement documenté sur tous les aspects de la vie soviétique qu'il a pu aperçevoir, mais encore il a vérifié minutieusement les renseignements qui lui étaient fournis. Sa connaissance parfaite de la langue russe lui a permis d'écouter, de surprendre, et même parfois d'interroger.
On trouvera dans Visa pour Moscou un tableau détaillé et à jour de la vie en U.R.S.S. La culture, l'administration, l'industrie, l'art, etc., y sont décrits par un témoin oculaire qui s'est efforcé, dans les innombrables reconnaissances qu'il a faites, de toujours comprendre les êtres et les choses qui s'offraient à son observation.
Visa pour Moscou nous révèle un esprit critique perspicace et un homme sensible qui saisit avant tout le côté humain des problèmes et des faits.
