Gallimard
Parution
Tout en faisant le point des connaissances sur l'œuvre et la personne de Montaigne, Hugo Friedrich entend subordonner cette information à l'analyse de ce que Montaigne appelait «science morale» ; non pas une morale normative, mais une discipline descriptive qui s'intéresse à la variété comme à la motivation des mœurs et qui, à travers les «moralistes» français, aboutira à notre anthropologie moderne.
D'où un nouvel examen des problèmes classiques : la singularité de Montaigne dans la littérature de son temps et les sources de sa culture ; son scepticisme, la valeur exacte de son christianisme et de son conservatisme - tandis que de beaux chapitres finals, «Le Moi», «Montaigne et la mort», «La Sagesse de Montaigne», «La Conscience littéraire de Montaigne et la forme des Essais», élargissent l'analyse bien au-delà du cadre de la monographie.
D'où un nouvel examen des problèmes classiques : la singularité de Montaigne dans la littérature de son temps et les sources de sa culture ; son scepticisme, la valeur exacte de son christianisme et de son conservatisme - tandis que de beaux chapitres finals, «Le Moi», «Montaigne et la mort», «La Sagesse de Montaigne», «La Conscience littéraire de Montaigne et la forme des Essais», élargissent l'analyse bien au-delà du cadre de la monographie.