Mélisande et l'automate
Collection Éditions originales
Gallimard
Parution
Laharpe et Balthazar, truands de leur état, mais trop «résolument pusillanimes» pour réussir dans une profession entre toutes difficile, décident, après un sévère débat de conscience et quelques cuisants échecs, de redevenir, ou plus exactement de devenir honnêtes, histoire de voir...
Mais là encore, que de déceptions les attendent. N'est pas honnête qui veut, ils l'apprendront bientôt à leurs dépens.
Leurs timides débuts dans l'honnêteté étaient pourtant assez prometteurs : Laharpe en automate publicitaire et Balthazar en employé des pompes funèbres pouvaient beaucoup espérer de leur nouveau métier. Mals n'est-il pas écrit que les truands, fussent-ils de petite naissance, n'échappent pas à leur destin?
Comment et pourquoi les deux compères vont participer à l'élaboration du surhomme annoncé par Nietzsche en se prêtant bon gré mal gré aux diaboliques machinations de l'étrange M. Gonzague et pour l'amour de Mélisande, la fille du démiurge, tel est le sujet de cette histoire mystérieuse, fantastique et burlesque que l'auteur a traitée dans le ton d'humour parodique et un peu insolite qui fit le succès de Monsieur Virgule et de l'Armoire Volante.
En imaginant l'alibi parfait, vieux rêve des malfaiteurs en quête d'invulnérabilité, M. Gonzague trouvera-t-il enfin le moyen de donner à l'homme, ce méprisable «grain de foule», la perfection que Dieu lui a refusée?
Anatole France eût aimé ce conte de fées pour grandes personnes – cette farce en forme d'apologue.
Mais là encore, que de déceptions les attendent. N'est pas honnête qui veut, ils l'apprendront bientôt à leurs dépens.
Leurs timides débuts dans l'honnêteté étaient pourtant assez prometteurs : Laharpe en automate publicitaire et Balthazar en employé des pompes funèbres pouvaient beaucoup espérer de leur nouveau métier. Mals n'est-il pas écrit que les truands, fussent-ils de petite naissance, n'échappent pas à leur destin?
Comment et pourquoi les deux compères vont participer à l'élaboration du surhomme annoncé par Nietzsche en se prêtant bon gré mal gré aux diaboliques machinations de l'étrange M. Gonzague et pour l'amour de Mélisande, la fille du démiurge, tel est le sujet de cette histoire mystérieuse, fantastique et burlesque que l'auteur a traitée dans le ton d'humour parodique et un peu insolite qui fit le succès de Monsieur Virgule et de l'Armoire Volante.
En imaginant l'alibi parfait, vieux rêve des malfaiteurs en quête d'invulnérabilité, M. Gonzague trouvera-t-il enfin le moyen de donner à l'homme, ce méprisable «grain de foule», la perfection que Dieu lui a refusée?
Anatole France eût aimé ce conte de fées pour grandes personnes – cette farce en forme d'apologue.