Le Sacrement du divorce
Collection Blanche
Gallimard
Parution
Adrian Miatlev est un poète. Il est Russe, mais sa seule langue est le français. C'est en français qu'il pense, c'est en français qu'il écrit. Et Le Sacrement du Divorce est la confession, le manifeste, le discours véhément et charmant d'un poète.
Faut-il écrire des poèmes? Qu'est-ce que la poésie? Telles sont les deux grandes questions que l'on peut lire en filigrane, et auxquelles Adrian Miatlev répond par les biais les plus inattendus : anecdotes, petits dialogues, souvenirs, pièces de vers.
Le Sacrement du Divorce exalte cette «force vitale de la solitude» dont parle Marie Lenéru ; cette force vitale aussi qui vient de tout ce qu'on n'a pas, et qu'on finit par dominer, commander et séduire. «C'est un livre religieux au possible, dit l'auteur. Un livre de pitié générale.»
Quant au titre, et comme chacun sait qu'il n'existe pas de «sacrement» du divorce, il ne concerne nullement les couples malheureux qui cherchent leur liberté, il signifie seulement «un peu d'air, un peu de recul entre tous les êtres».
Faut-il écrire des poèmes? Qu'est-ce que la poésie? Telles sont les deux grandes questions que l'on peut lire en filigrane, et auxquelles Adrian Miatlev répond par les biais les plus inattendus : anecdotes, petits dialogues, souvenirs, pièces de vers.
Le Sacrement du Divorce exalte cette «force vitale de la solitude» dont parle Marie Lenéru ; cette force vitale aussi qui vient de tout ce qu'on n'a pas, et qu'on finit par dominer, commander et séduire. «C'est un livre religieux au possible, dit l'auteur. Un livre de pitié générale.»
Quant au titre, et comme chacun sait qu'il n'existe pas de «sacrement» du divorce, il ne concerne nullement les couples malheureux qui cherchent leur liberté, il signifie seulement «un peu d'air, un peu de recul entre tous les êtres».