Le dernier des métiers
Collection Espoir
Gallimard
Parution
«J 'ai été fantassin de 2ᵉ classe de novembre 1938 à août 1940. Je ne regrette pas ces deux ans, non que j'ai l'ombre d'un goût pour la vie , militaire, mais parce que j'aime bien les soldats.
C'est d'eux qu'il s'agit dans ces récits. Des soldats de 39-40, mal habillés, mal équipés, mal entraînés, qui vécurent huit mois d'une guerre minable et deux mois de déroute. Le premier des récits se situe en Lorraine au moment de la drôle de guerre, le second en mai 40. La guerre a bien changé d'aspect depuis, mais le métier de fantassin est resté le dernier des métiers.»
Jacques-Laurent Bost.
C'est d'eux qu'il s'agit dans ces récits. Des soldats de 39-40, mal habillés, mal équipés, mal entraînés, qui vécurent huit mois d'une guerre minable et deux mois de déroute. Le premier des récits se situe en Lorraine au moment de la drôle de guerre, le second en mai 40. La guerre a bien changé d'aspect depuis, mais le métier de fantassin est resté le dernier des métiers.»
Jacques-Laurent Bost.