Idylles s'offre comme le retour, par progrès cependant, à une écriture ancienne – le poème long et élégiaque – ainsi qu'à des thèmes picturaux : promenade, portrait, journée, dédicaces à la sœur et à la mère, à l'amante, contenus dans l'origine grecque du titre qui signifie tableaux, images, tels qu'en ont traité aux temps heureux et perdus de la littérature le Sicilien Théocrite ou le Suisse Gessner.
Ces sept idylles sont suivies d'un triptyque, Cippes, à savoir : urnes funéraires ébréchées (poèmes tronqués) dont l'évidence brute, par la brièveté, l'épure, vient renier la substance apparente de la première partie.