À la Vieille Parque
Collection Le Chemin
Gallimard
Parution
Le titre indique, dit l'auteur lui-même dans Dialogue des Figures, à propos de La Jeune Parque de 1917, la
distance entre deux jalons marquant la continuité historique : du poème jadis unifié aux disjonctions du titre multiplié et se référant, par antiphrase, à la désuétude poétique même, «résidu romantique d'une technologie littéraire du passé», comme la définissait naguère
N. Schöffer.
Après des Dédicaces d'ouverture à la Parque même, celle qui épargne encore, dix Hommages à de semblables efforts solitaires – E. de Guérin aussi bien que Giacomelli – précèdent Titres, concession à la lecture apprise, puis Odes à Pascin, d'inspiration non pas «érotique» mais charnelle, enfin Stygiennes, pièces finales emportées au fleuve d'oubli. L'Envoi signe le salut à tous ces «Ils» que restent les poètes dans la bouche d'autrui.
Après des Dédicaces d'ouverture à la Parque même, celle qui épargne encore, dix Hommages à de semblables efforts solitaires – E. de Guérin aussi bien que Giacomelli – précèdent Titres, concession à la lecture apprise, puis Odes à Pascin, d'inspiration non pas «érotique» mais charnelle, enfin Stygiennes, pièces finales emportées au fleuve d'oubli. L'Envoi signe le salut à tous ces «Ils» que restent les poètes dans la bouche d'autrui.