«Les magnifiques portraits de trois Londoniennes aux prises avec les spectres des absents, dans la paix meurtrie de l’après Première Guerre mondiale.»
Gilles Heuré, Télérama
«Le chagrin des vivants ausculte avec justesse l’âme endolorie des survivants et des survivantes que le souvenir des morts empêche de vivre.»
Astrid de Larminat, Le Figaro Littéraire
«Empreinte de la gravité du deuil, mais fouettée par l’urgence de recommencer à vivre, la prose habitée d’Anna Hope épouse les battements de coeur, la fumée des cigarettes, les notes de jazz qui réveillent les corps.»
Jeanne de Ménibus, Elle
«La prose d’Anna Hope est si subtile et son intrigue si bien menée qu’il est difficile de croire qu’il s’agit d’un premier roman.»
The Guardian
«Hope transcende le thème de la haute société et s’attache à des femmes de différentes classes sociales, toutes liées par leur réticence à dire adieu au monde que la guerre a fait voler en éclat.»
The New York Times