«"C'est pure folie, vous voulez me faire faire une folie ! murmura-t-elle éperdue, que va-t-il issir de cette situation ?
- Il n'y a aucun danger, dépêchons-nous avant que votre mari ne revienne."
L'attrait de la chose et le piquant d'une situation aussi croustillante, enflammant son imagination, l'emportèrent sur la crainte du danger d'être découverte en flagrant délit de galanterie, elle ne résista plus ; je me glissai sous son ample robe, entre ses jambes ouvertes, en bénissant cette mode si commode. Son mari ne tarda pas à revenir, porteur du rafraîchissement demandé. L'entracte se terminait justement. Les chandelles furent éteintes dans la salle et j'entrai en scène, en même temps que les acteurs. J'avançai mon visage avec précaution. Ma jolie bourgeoise me facilita les choses en se plaçant au bord de son siège et en écartant largement les cuisses. Mes lèvres se collèrent à d'autres lèvres dont le parfum capiteux me grisa et j'entrepris doucement, en me gardant de bouger le chef, de lui donner tout le plaisir que ma bouche et ma langue pouvaient lui procurer.»