Propositions - Poèmes - D'addis-Abeba à Djibouti - Le Consolateur - Conseils à mon fils (suite et fin) - L'Annonce faite à Marie (Prologue).
Notes :
Sur la tombe de Brunetière - L'Associée, par Lucien Muhlfeld (Calmann Lévy) - Les cent un Propos d'Alain (Édition de la Dépêche de Rouen) - Monsieur des Lourdines, par Alphonse de Châteaubriand (Bernard Grasset) - La Science et les Humanités, par Henri Poincaré (Fayard) - Variations du cœur pensif, par Cécile Périn (E. Sansot) - Le Jardin des Caresses, Anonymes (Piazza) - À propos des représentations du Pain au Théâtre des Arts - M. de Max dans Le Typhon de M. Melchior Lengyel (Théâtre Sarah Bernhardt) - Odéon.
Lectures :
Le Porche du Mystère de la Deuxième Vertu, par Charles Péguy.
Traductions :
Tennyson, par Firmin Roz (Bloud et Cie) - La Ville enchantée, par Mrs Oliphant, préface de Maurice Barrès (Émile Paul).
Une lettre - Réponse à M. Variot.
André Gide, Propositions
Charles Vildrac, Poèmes
André Ruyters, D'addis-Abeba à Djibouti
O.W. Milosz, Le Consolateur
Lord Chesterfield, Conseils à mon fils (suite et fin)
Paul Claudel, L'Annonce faite à Marie (Prologue)
Notes :
Anonymes, Sur la tombe de Brunetière
Jacques Copeau, L'Associée, par Lucien Muhlfeld (Calmann Lévy)
Gaston Gallimard, Les cent un Propos d'Alain (Édition de la Dépêche de Rouen)
Edmond Pilon, Monsieur des Lourdines, par Alphonse de Châteaubriand (Bernard Grasset)
Pierre de Lanux, La Science et les Humanités, par Henri Poincaré (Fayard)
Edmond Pilon, Variations du cœur pensif, par Cécile Périn (E. Sansot)
Jean Schlumberger, Le Jardin des Caresses, Anonymes (Piazza)
Anonymes, À propos des représentations du Pain au Théâtre des Arts
Jean Schlumberger, M. de Max dans Le Typhon de M. Melchior Lengyel (Théâtre Sarah Bernhardt) - Odéon
Lectures :
Anonymes, Le Porche du Mystère de la Deuxième Vertu, par Charles Péguy
Traductions :
Henri Ghéon, Tennyson, par Firmin Roz (Bloud et Cie)
Anonymes, La Ville enchantée, par Mrs Oliphant, préface de Maurice Barrès (Émile Paul)
François Bellet, Une lettre
Jacques Copeau, Réponse à M. Variot