Le portrait du père
Collection Blanche
Gallimard
Parution
«Tâche d'être un peu moins Surville» dit un des personnages au héros du Portrait du père. Être un Surville, c'est ce que
Georges hait le plus au monde, et c'est pourtant ce qu'il lui faut peu à peu accepter. Peut-être, dans cette acceptation seule pourrait-il
trouver le bonheur que la vie lui refuse. Mais cette vérité, il ne commence à l'entrevoir que lorsqu'il n'est plus temps.
«Les Surville sont des gens auxquels il n'arrive rien» aime à dire le père. Loin de là, et la vie de Georges est une suite de coups de théâtre dont un autre saurait faire une vie ardente ou apaisée. Mais Georges, comme autrefois son père, ne peut comprendre ce qui lui arrive que toujours un peu trop tard. Et ainsi passent et se perdent les occasions et, d'abord, celle de ne pas être celui qu'il est.
«Les Surville sont des gens auxquels il n'arrive rien» aime à dire le père. Loin de là, et la vie de Georges est une suite de coups de théâtre dont un autre saurait faire une vie ardente ou apaisée. Mais Georges, comme autrefois son père, ne peut comprendre ce qui lui arrive que toujours un peu trop tard. Et ainsi passent et se perdent les occasions et, d'abord, celle de ne pas être celui qu'il est.