Vu du Liban
. La fin d’un pays, la fin d’un monde ?
Gallimard
Parution
« La libanisation, la vraie libanisation, n’est pas une maladie. C’est un remède. »
Le vendredi 27 septembre 2024, un monde s’est effondré au Liban. L’assassinat de Hassan Nasrallah, l’homme le plus puissant, le plus adoré et le plus détesté, a plongé le pays dans l’inconnu. Tout est devenu possible. La guerre régionale et la guerre civile, l’implosion et l’explosion, le nouveau Liban ou la fin du Liban.
Le Hezbollah le dévorait de l’intérieur. Israël le détruit de l’extérieur. Ce pays en morceaux, si prompt à importer les conflits des autres et à en faire les siens, peut-il se reconstruire dans une région en feu et dans un monde en plein délitement ? Cerné par les monstres, le Liban peut-il encore être «un pays plus grand que lui-même » ? Son échec n’est-il pas celui de tout un monde ? Après Gaza, sur quoi peut encore reposer l’espoir?
Le vendredi 27 septembre 2024, un monde s’est effondré au Liban. L’assassinat de Hassan Nasrallah, l’homme le plus puissant, le plus adoré et le plus détesté, a plongé le pays dans l’inconnu. Tout est devenu possible. La guerre régionale et la guerre civile, l’implosion et l’explosion, le nouveau Liban ou la fin du Liban.
Le Hezbollah le dévorait de l’intérieur. Israël le détruit de l’extérieur. Ce pays en morceaux, si prompt à importer les conflits des autres et à en faire les siens, peut-il se reconstruire dans une région en feu et dans un monde en plein délitement ? Cerné par les monstres, le Liban peut-il encore être «un pays plus grand que lui-même » ? Son échec n’est-il pas celui de tout un monde ? Après Gaza, sur quoi peut encore reposer l’espoir?
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