Une voix
Préface d'André Dhôtel
Collection Blanche
Gallimard
Parution
Dans la subtile préface qu’il a écrite pour ce livre, André Dhôtel remarque ceci : «G.-E. Clancier distingue lui-même une dualité dans son œuvre poétique ; la part du rêve sous forme de légendes et un amour pour la réalité du corps et de la terre.»
Certes, mais inspirée par cette dualité même, Une voix, une seule voix anime ces poèmes échelonnés sur près de vingt ans, de l’adolescence à l’âge d’homme, et qui, du mythe à l’illumination de l’instant, de l’expérience intérieure à la conscience historique, de l’hymne à la simple chanson, représentent une grande partie de l’œuvre poétique de G.-E. Clancier.
«Une voix» est là qui chante, jusque dans la détresse, l’amour et la vie ; une voix tour à tour tendre, grave ou légère, ardente ou blessée, celle d’un des plus authentiques poètes de ce temps.
Certes, mais inspirée par cette dualité même, Une voix, une seule voix anime ces poèmes échelonnés sur près de vingt ans, de l’adolescence à l’âge d’homme, et qui, du mythe à l’illumination de l’instant, de l’expérience intérieure à la conscience historique, de l’hymne à la simple chanson, représentent une grande partie de l’œuvre poétique de G.-E. Clancier.
«Une voix» est là qui chante, jusque dans la détresse, l’amour et la vie ; une voix tour à tour tendre, grave ou légère, ardente ou blessée, celle d’un des plus authentiques poètes de ce temps.