A. B.
A. B.
« Enfin, un romancier, et l’un des plus acérés sur son époque, s’attaque à la télévision quand elle bascula, au tournant du siècle, pour devenir l’arme du cynisme et de l’obscénité. [...] Avec l’ascension de ce Rastignac contemporain, Aurélien Bellanger poursuit son travail balzacien sur la comédie humaine de notre époque et tend le miroir éclairant d’une forme très actuelle de servitude volontaire. »
Jean-Claude Raspiengeas, La Croix
« Pour raconter la télévision, comme il l’avait fait du Minitel ou du TGV, Aurélien Bellanger a donné à Téléréalité la forme d’un roman balzacien… infléchi par Walter Benjamin. [...] Une enthousiasmante démonstration des pouvoirs du roman, une célébration de sa capacité à dévoiler la réalité en s’appuyant sur la fiction, à décrire le contemporain à travers l’éternelle trame d’une ascension sociale. »
Raphaëlle Leyris, Le Monde des Livres
« Aurélien Bellanger s’amuse à nous rendre témoin d’une époque tourbillonnante où seuls quelques-uns sont les maîtres du jeu. Il raconte les coulisses, souvent drôlissimes, parfois inquiétantes, de cet univers impitoyable où, d’un jour à l’autre, vous êtes un roi... et peut-être un esclave. Mêlant habilement fiction et réalité. »
Laurence Caracalla, Le Figaro Littéraire
« Aurélien Bellanger revient avec la saga d’un Rastignac cathodique. [...] Dans le miroir de la télé, l’auteur de L’Aménagement du territoire raconte la décadence d’une époque. La nôtre. »
Les Échos Week-end
« Absolument irrésistible. Des pages « addictives » comme une série Netflix. »
Gilles Martin-Chauffier, Paris Match
« L’un des romanciers français les plus politiques, inspiré par la culture populaire. Une sorte de Balzac contemporain, qui se nourrit du réel, de l’actualité, et qui ajoute cette puissance du souffle romanesque. »
Karim Rissouli, C politique
« Après s’être penché sur les années Sarkozy, le Grand Paris ou la construction de l'Europe, Aurélien Bellanger renoue avec sa fascination romanesque pour les objets de la modernité ; ces machines qui bornent la course froide d’un techno capitalisme effréné. Dans Téléréalité, il s'attaque à la télévision. »
Léonard Billot, Les Inrockuptibles
« Aurélien Bellanger livre ici un grand roman balzacien d'aujourd'hui qui, au-delà d'un destin romanesque et de la précision documentaire, enregistre l'histoire récente comme un passé qui se répète. »
Baptiste Liger, Technikart
« Dans Téléréalité, Aurélien Bellanger poursuit, avec son sens aigu de l’analyse iconoclaste, l’inventaire des rêves libéraux du XXe siècle, en racontant l’ascension d’un fils de plombier devenu le roi de la télévision. »
Élisabeth Philippe, L’Obs
« Une plongée romanesque et cynique dans le milieu de la télévision, où se dessine une métamorphose en marche. »
Norine Raja, Vanity Fair